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Le monde auquel j'aimerai appartenir

Je fais le projet d'un monde où la connaissance de soi et des autres, le travail sur soi tant physique, émotionnel, mental que spirituel, et le développement interpersonnel et sociétal sont soutenus et valorisés. Un monde où les relations humaines sont fondées sur la compassion, l'empathie, la coopération, l'échange, le questionnement et la confrontation bienveillante.

J'envisage un monde où il est commun de penser que : « L’important n’est pas ce que nous attendons de la vie, mais ce que nous apportons comme réponse à ce que la vie nous propose. »

J'ai enfin le rêve d'une humanité consciente de sa vulnérabilité où chacun est en paix avec les données de la condition humaine. Un monde, où chacun, au soir de sa vie, se penchant sur son existence, se dit avec satisfaction : « cette expérience avait un sens, je n'ai pas de regrets ».

 

En somme il s'agit d'un monde où chacun se reconnectant à son unicité, fait ainsi l'expérience de la création d'une œuvre singulière (sa vie), se sentant ainsi à sa place dans l'espace (la famille, la société, l'entreprise...) et dans le temps.

La mission que je me donne

Ma mission en tant que thérapeute existentialiste consiste à aider les personnes qui le souhaitent à devenir attentives à leur manière de vivre. Concrètement, cela signifie que j'explore avec elles les a priori, certitudes, croyances et valeurs sur lesquelles elles s'appuient, parfois sans y réfléchir, pour décoder la réalité, déterminer leurs actions et ainsi orienter leur existence.​
 

En encourageant les personnes à réfléchir sur la manière dont elles s'approprient les événements de leur vie cela peut les amener à ré-évaluer la manière dont elles font les choses, en conséquence de quoi elles peuvent alors « re-décider », c’est à dire faire des choix et donner un sens à leur vie qui soit potentiellement plus satisfaisant. Bien évidement, s’ouvre alors pour elles la possibilité de réfléchir à ces nouvelles expériences et à leur impact sur leur vie, à les ré-évaluer, et à continuer ainsi ce cycle de cheminement vers une vie plus sensée.

 

La re-décision repose notamment sur un questionnement existentiel : « qui suis-je et quel type de personne est-ce que je souhaite être ? » et donc relationnel « comment suis-je en relation avec les autres et avec le monde qui m’entoure ? ».

Les valeurs qui m'habitent

Accueil inconditionnel : la condescendance n’a pas sa place dans la relation thérapeutique. Tout peut être dit, je n'ai pas d'avis ou de jugement à poser, puisque je ne suis pas vous. Chacun de nous possède ses valeurs propres, son monde de référence, ses expériences, ses croyances, sa totale liberté de conscience et de décision.

Regard positif : avec moi, la personne n’est jamais réduite à un problème, à un symptôme, à une histoire de vie. Je considère que chacun possède en lui-même des ressources inépuisables pour se comprendre, se percevoir différemment, changer ses attitudes fondamentales et son comportement vis-à-vis de lui-même et des autres.

 

Responsabilité : la thérapie que je propose est la confrontation de la conscience de nos blessures et angoisses passées et présentes, pour mesurer qu'aujourd’hui, si nous n’avons pas été responsables de ces blessures infligées, nous sommes responsables et pouvons être auteurs et créateurs d’un nouveau chemin de vie avec toute la conscience de nos limitations actuelles (parfois aussi liées aux conséquences de notre passé) et donner un sens à une nouvelle existence.

 

Curiosité : loin des dogmes rigides de certaines approches psychologiques qui pensent qu'il est possible d'établir des standards de normalité et d'objectivité pour l'être humain, je pense au contraire que chacun d'entre nous a une façon bien singulière d'habiter son humanité. Chacun d'entre nous est un mystère à découvrir, et pour y parvenir, nous devons nous défaire de nos a priori pour aborder l'autre sans filtres déformants.

 

Authenticité : Je n'ai rien d'autre à vous offrir que la personne que je suis, avec mes doutes, mes questions et mes limites. Comment pourrais-je vous aider à vous accepter et à valoriser votre unicité si moi-même je travestissais ma personne ?

Ma déontologie

Je m'engage à garantir un cadre sécurisant, à mettre tout en œuvre pour favoriser une relation de confiance, à chercher à vous rencontrer dans toute votre complexité, à vous aider à déterminer la direction qui vous convient en accord avec vos valeurs et limites de notre condition humaine, à m'impliquer à vos côtés pour avancer dans ce sens avec souplesse (en veillant à préserver la possibilité de se réajuster en fonction de ce qui émerge), et à viser votre autonomie.

Plus largement, je m'engage à respecter le code d'éthique et de déontologie de l'Approche PEARL.

J'ai également adhéré au Code de Déontologie du SNPPSY (Syndicat National des Praticiens en Psychothérapie et psychanalyse), et je suis une supervision de ma pratique par des professionnels qualifiés.

Ma pratique est donc porteuse des engagements déontologiques suivants :

Clarté de la relation Personne/Accompagnant
Dans cette relation de caractère professionnel, le mieux être de la personne est la préoccupation première du psychopraticien. Ce dernier renonce à faire miroiter des promesses de guérison irréalistes. Dès le début de la relation d’aide (psychothérapie, coaching ou autres), le psy doit définir un cadre clair en attirant l’attention de son interlocuteur sur ses droits et ses devoirs et souligner les points suivants :
- La responsabilité propre du de la personne et la nécessité d’une coopération active de cette dernière.
- Le type de méthode et les outils employés.

Respect de la personne, empathie et non jugement
Le psychopraticien écoute et encourage la personne à s’exprimer, et ce, de façon inconditionnelle, quel que soit le contenu des propos. Le thérapeute ne peut exercer ou favoriser aucune sorte de pression ou de contrainte sur une personne. Il agira uniquement dans le respect de l’intégrité de la personne humaine et des droits de l’homme, sans jamais imposer des vérités ou des croyances qui lui sont personnelles.

Confiance
Le psychopraticien est une personne de confiance et s’engage à ne pas exploiter ses interlocuteurs financièrement, sexuellement ou émotionnellement. Il s’abstiendra d’exercer toute forme de pouvoir, de pression ou d’autorité sur la personne qui le consulte.

Domaine de Compétence
Le psy accepte de réaliser des accompagnements adaptés à sa formation et à ses compétences. Il s’engage à orienter les personnes qui le consulte vers d’autres praticiens s’il reconnaît qu’il atteint ses limites. Le psychopraticien ne doit traiter aucune maladie « grave » sans surveillance médicale. Il doit s’assurer que le malade en question se soumet régulièrement à cette surveillance.

Transparence
Le psychopraticien est explicite sur ses honoraires, les périodes de congés, les modalités de paiement, et le déroulement de l'accompagnement en psychothérapie ou coaching (conditions d’annulation ou du report d’une séance…)

Perfectionnement
Le psychopraticien doit veiller à actualiser ses connaissances et pratiques en se tenant informé des recherches et des avancées dans son domaine d’application. Le thérapeute participe régulièrement, et tout au long de sa pratique professionnelle, à un cadre de supervision et de contrôle de sa pratique par un tiers qualifié.

 

Secret professionnel et devoir de discrétion
Le psy est soumis au secret professionnel sur le contenu de ce que le patient révèle dans l’exercice de sa profession.

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